Le processus de reporting empêche 60% des acteurs de la finance de dormir

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Aujourd'hui, le reporting des entreprises repose majoritairement sur des processus manuels stressants. Sans solution adaptée, ce processus de reporting représente le pire cauchemar des cadres de la finance, selon une nouvelle étude de Tagetik.

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Tagetik, spécialiste des solutions de Performance Management à destination de la fonction finance, révèle dans son étude "Améliorer le reporting pour qu'il réponde aux besoins de tous", que 60% des acteurs de la finance s'inquiètent des processus manuels et des erreurs non détectées dans leur processus de reporting. On y apprend également qu'aujourd'hui un pourcentage significatif de reportings réalisés par la fonction finance contient de nombreux narratifs.

Tagetik a mené un sondage auprès de 200 CFO et départements finance représentant de nombreux secteurs de l'économie (industrie, BTP, retail, technologie, médias, santé, énergie, services, …). Ce sondage révèle que les informations incohérentes (46%) et les changements de dernière minute (33%) les stressent et affectent leur sommeil.

On découvre notamment que :

  • 27,2% des répondants ont indiqué que la majorité de leur reportings était équitablement divisés entre les informations financières et les narratifs
  • 16,8% ont déclaré que leurs reportings contiennent même plus de narratifs (textes) que d'informations financières

Le sondage dévoile également que les départements finance croulent sous les processus manuels stressants :

  • 70% collectent les informations lors de réunions physiques ;
  • 96% utilisent les emails pour collecter les informations ;
  • 37% ne disposent pas de workflows et de contrôles appropriés ;
  • 31% tirent leurs données de plus de 6 sources différentes.

Mais, les processus manuels ne sont pas leur unique cauchemar :

  • 30% impliquent plus de 5 départements et plus de 12 contributeurs ;
  • 25% génèrent plus de 15 rapports mensuels ;
  • 25% prennent plus d'une semaine pour élaborer les rapports mensuels.

Ces difficultés s'expliquent par le fait que les directions financières utilisent des outils traditionnels, inadaptés aux défis de la finance moderne :

  • 95% des répondants s'appuient toujours sur Excel pour la création de reportings ;
  • PowerPoint (65%) et Word (48%) sont également grandement utilisés.

"Le glissement d'un reporting centré sur les chiffres vers un reporting centré sur les narratifs s'explique par la volonté de recevoir plus que de simples chiffres en provenance de la fonction finance. Elle devrait également fournir des analyses commerciales et des conseils stratégiques aux dirigeants et aux investisseurs" explique Dave Kasabian, Directeur Marketing de Tagetik. “ Les narratifs racontent l'histoire derrière les chiffres, et augmente ainsi la valeur de l'information délivrée aux parties prenantes internes et externes de l'entreprise. Le problème est que la plupart des équipes financières passent tellement de temps à collecter, consolider et valider les chiffres qu'elles n'ont pas suffisamment de temps pour se concentrer sur les narratifs".

"Il n'est donc pas étonnant que les deux plus grandes préoccupations des répondants soient le manque d'automatisation, et les processus chronophages - suivi par le manque d'intégration et de contrôle des données ainsi que les changements de dernière minute” continue Mr Kasabian. “Le sondage montre aussi que presque 40% des répondants reconnaissent que les processus actuels pour la gestion des contributions, la révision et la validation sont inadaptés."

Présent dans plus de 35 pays avec 850 clients dans le monde, reconnu par les cabinets indépendants d'études Gartner et Forrester, Tagetik connaît précisément les processus financiers, les exigences réglementaires et les technologies adaptées à la fonction finance.

Besoin d'un environnement collaboratif totalement opérationnel

Les acteurs de la finance ont besoin de :

  • créer des rapports plus rapidement ;
  • recueillir l'information à partir d'une source unique ;
  • utiliser l'automatisation pour optimiser les outils qu'ils utilisent déjà ;
  • simplifier et tracer la collaboration ;
  • connecter les chiffres à la narration et vice versa.

"Les narratifs sont un élément important de la finance moderne,” déclare Manuel Vellutini, co-CEO de Tagetik. “Ils apportent non seulement un éclairage sur l'état financier d'une société, mais aussi des analyses et des explications critiques pour soutenir la stratégie de l'entreprise. Pour les directions financières, le processus de reporting est une bonne opportunité d'apporter plus de valeur. Mais elles ne peuvent pas le faire avec des outils de reporting et d'analyse traditionnels. Notre solution de 'Collaborative Office' a été conçue pour adresser spécifiquement les challenges mis en avant dans ce sondage. Ce type d'étude nous aide ainsi à développer et délivrer les solutions dont la fonction finance a besoin pour garder une longueur d'avance".

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